Dagmar - cancer de l’utérus
C’est ma petite-fille qui m’a fait découvrir le Penoxal. Elle me l’a apporté parce que j’avais un cancer de l’utérus et qu’elle voulait m’aider avec un produit naturel. Avant le cancer, j’avais fréquemment des rhumes et une faible immunité. Le Penoxal était supposé accélérer ma guérison après mon opération, pendant laquelle on m’a retiré les deux ovaires et l’utérus. Il devait me permettre de mieux supporter les effets secondaires de la curiethérapie et de la radiothérapie à venir. ......... lire plus
Tout au long de leur vie, les organes génitaux féminins subissent diverses modifications, par exemple à la suite d’un accouchement ou d’une fausse-couche. L’utérus se compose de trois parties (le col de l’utérus, le corps utérin et le fond utérin), chacune d’entre elles pouvant être affectée par cette inflammation. Lorsque la paroi interne de l’utérus est touchée, cette affection est appelée endométrite. Celle-ci se transmet principalement par voie vaginale ou sanguine.
Le produit Penoxal permet une guérison plus aisée et plus rapide car il renforce le système immunitaire, réduit le risque de maladies, rectifie les déséquilibres internes et harmonise les organes reproducteurs. Il constitue donc un complément approprié dans le cadre du traitement global des maladies gynécologiques, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d'autres médecins. Pour en savoir plus sur l'expérience des utilisateurs du Penoxal, cliquez ICI.
L’endométrite est généralement liée à un accouchement ou à une fausse-couche, mais la promiscuité sexuelle est davantage susceptible de provoquer cette maladie gynécologique inflammatoire. Un manque d’hygiène des deux partenaires constitue également un facteur de risque. La présence de dépôts inflammatoires dans le corps peut aussi déclencher la maladie et infecter l’utérus par la circulation sanguine. Un système immunitaire affaibli reste le facteur de risque numéro un. Les pertes vaginales abondantes ignorées peuvent, elles aussi, contribuer au développement de l’endométrite compte tenu du fait qu’elles constituent l’un des symptômes significatifs de cette maladie gynécologique.
Les douleurs prolongées dans le bas de l’abdomen ou le bas du dos figurent parmi les symptômes courants de l’endométrite. Elle peut s’accompagner d’autres symptômes pénibles tels que des douleurs lors de la miction ou d’une selle volumineuse. Si l’endométrite devient chronique, ses manifestations sont difficilement identifiables. À titre d’exemple, les saignements entre les règles constituent un signe peu clair dans la mesure où ils peuvent faire partie d’un cycle menstruel prolongé. Cependant, ce symptôme peut indiquer une maladie gynécologique grave, y compris un cancer, et les femmes doivent donc être très vigilantes quant à celui-ci. Par ailleurs, la fatigue, les frissons, la fièvre ou les pertes vaginales purulentes font partie des autres manifestations de l’endométrite.
La mesure préventive la plus importante réside dans une hygiène adéquate chez les deux partenaires. Il est également possible de prévenir une infection potentielle lors d’un rapport sexuel en utilisant un préservatif qui empêchera la pénétration des bactéries. Le renforcement du système immunitaire, qui permet à l’organisme de faire face aux infections, est la prévention la plus efficace contre cette maladie inflammatoire.
De même que d’autres maladies inflammatoires, l’endométrite est généralement soignée à l’aide d’antibiotiques. En se basant sur les résultats du frottis, un gynécologue identifiera l’origine des bactéries et prescrira les antibiotiques nécessaires. Des thérapies naturelles appropriées peuvent ensuite être mises en place à l’aide de diverses herbes sous forme d’infusions. L’endométrite peut en outre se traduire par un affaiblissement du système immunitaire qui doit être renforcé pendant le traitement et de façon préventive.
La prudence est de mise, même si les pertes vaginales ou les autres symptômes de l’endométrite disparaissent, car cela ne signifie pas que tout est terminé. Les femmes devraient toujours prendre soin des parties de leur corps les plus sensibles, principalement à titre préventif. Le corps se voit ainsi épargné parce qu’il ne lui est pas nécessaire de lutter contre les infections, ni même d’être sollicité par des médicaments inutiles. Si le système immunitaire n’est pas renforcé lors du traitement de l’endométrite, sa faiblesse causée par les médicaments chimiques peut entraîner des problèmes chroniques, voire même une grave maladie gynécologique.