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Thérèse – VPH
14 jours après divers frottis et prises de sang vaginaux, le résultat était quasiment définitif. Il s’agissait sans doute d’une infection au VPH. Une nouvelle série d’examens et le résultat ont confirmé le diagnostic. C’était vraiment une infection au VPH. Mon docteur m’a tout de suite prescrit des antibiotiques. Comme mon immunité était constamment faible et que le traitement contre l’infection par le VPH est long, on m’a recommandé le complément alimentaire PENOXAL. ......... lire plus

Le VPH (virus du papillome humain) et ses symptômes

Le VPH, le virus du papillome humain, appelé également papillomavirus ou encore papillomavirus HPV en anglais, est un virus sexuellement transmissible qui est dangereux pour la santé, même en l’absence de symptômes. Le VPH touche près de 80 % de la population mondiale et existe depuis des millions d’années. Le VPH peut affecter aussi bien les femmes que les hommes. Par ailleurs, un système immunitaire fort peut tout à fait faire face au virus et le corps peut se rétablir complètement dans les deux ans qui suivent son apparition.

Comment le Penoxal peut-il aider en cas de papillomavirus?

Le produit Penoxal permet une guérison plus aisée et plus rapide car il renforce le système immunitaire, réduit le risque de maladies, rectifie les déséquilibres internes et harmonise les organes reproducteurs. Il constitue donc un complément approprié dans le cadre du traitement global des maladies gynécologiques, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d'autres médecins. Pour en savoir plus sur l'expérience des utilisateurs du Penoxal, cliquez ICI.

La dose recommandée lors d'un traitement gynécologique est de 4 gélules par jour pendant 3 mois

Transmission du VPH 

Le papillomavirus se transmet par contact génital ou par contact entre les mains ou la bouche et les organes génitaux. Dans de rares cas, il peut être transmis par le biais de sous-vêtements ou de serviettes de toilette contaminés.

Facteurs de risque liés au VPH 

Le risque de contracter la maladie est principalement déterminé par l’activité sexuelle des individus et par le changement fréquent de partenaires sexuels. Les autres facteurs de risque sont le tabagisme, la déficience immunitaire, la faiblesse du système immunitaire, les prédispositions génétiques et les troubles alimentaires, accompagnés de faibles niveaux d’a-tocophérols, de vitamine C et d’antioxydants.

Symptômes du VPH

Les symptômes de l’infection par le VPH sont généralement très discrets, voire inexistants. Dans le cas du papillomavirus humain, la maladie peut continuer à se développer pendant plusieurs mois ou années. Les personnes généralement touchées sont âgées de 18 à 25 ans. L’évolution du VPH depuis son apparition jusqu’à la croissance potentielle de la tumeur peut prendre jusqu’à 15 ans. Sa progression peut conduire à un cancer du col de l’utérus. Les affections gynécologiques causées par le VPH sont généralement des néoplasmes bénins des organes génitaux, tels que les verrues génitales (condylomes), qui peuvent affecter tant les hommes que les femmes.

Prévention du VPH 

Le moyen de prévention principal contre l’infection par le VPH est l’abstinence sexuelle. L’abstinence sexuelle et tout contact avec les organes génitaux garantissent la quasi-absence de risque de transmission du VPH. Les personnes sexuellement actives peuvent réduire le risque potentiel de contracter le VPH en utilisant des préservatifs, mais cela ne garantit pas une protection absolue. La vaccination représente une autre possibilité, de même que le fait d’avoir un système immunitaire fort.

Traitement du VPH 

Si les personnes concernées remarquent des signes d’infection, même minimes, il leur est conseillé de consulter un gynécologue. La méthode de traitement la plus courante est l’ablation chirurgicale. Il s’agit d’une intervention relativement mineure effectuée à un stade précancéreux de la maladie. Le renforcement ciblé du système immunitaire doit faire partie des soins dispensés ainsi que de la prévention de toutes les maladies gynécologiques ou virales, qui sont principalement le résultat d’un système immunitaire affaibli.

Grossesse et VPH 

La bonne nouvelle pour les futures mères est que le VPH n’a aucun impact sur la fertilité. Les condylomes ou les verrues génitales se développent cependant plus rapidement pendant la grossesse. Leur élimination peut se faire de plusieurs façons. Des interventions gynécologiques sont recommandées avant l’accouchement pour éviter la transmission à l’enfant. Si les verrues génitales bloquent les voies génitales, l’enfant doit être mis au monde par césarienne.

Impact du système immunitaire sur le VPH 

Comme pour d’autres maladies virales ou gynécologiques, le système immunitaire exerce une grande influence sur le développement des verrues génitales. Si des néoplasmes bénins apparaissent, il est préférable de renforcer immédiatement le système immunitaire étant donné que ses effets sont bénéfiques pour le traitement lui-même. Le VPH étant un virus très discret, le renforcement du système immunitaire devrait être une précaution systématique à adopter.

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