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Peter - borréliose
Après la détection de cette maladie, j’ai été traité avec des antibiotiques qui ont dans un premier temps accéléré le développement de la borréliose jusqu’à un niveau limite, et par la suite, j’ai attiré encore plus de tiques. En un an, j’en ai eu une dizaine. La prise de sang suivante a montré que j’avais de nouveau la borréliose. Je me suis dit que le seul moyen pour moi de m’en sortir était de renforcer mon système immunitaire. J’ai fait des recherches sur Internet et j’ai découvert le Penoxal. ......... lire plus

Système immunitaire – organes lymphatiques, leucocytes

De quoi se compose le système immunitaire?

Le système immunitaire est composé d’organes lymphoïdes, appelés également organes lymphatiques, et de leucocytes. Les organes lymphoïdes sont des tissus lymphoïdes très spécifiques comportant un grand nombre de lymphocytes et qui se différencient en deux catégories : les organes lymphoïdes primaires, ou centraux, et les organes lymphoïdes secondaires, ou périphériques. Outre les organes lymphoïdes secondaires (rate, amygdales), les organes lymphoïdes primaires, à savoir le thymus et la moelle osseuse, jouent un rôle très important. La fonction principale du thymus intervient durant l’enfance, puis, avec l’âge, il est remplacé par de la graisse. La moelle osseuse est un tissu mou et spongieux, qui se trouve à l’intérieur des os longs et où sont produites les nouvelles cellules sanguines et les plaquettes. Entre l’âge de 4 et 5 ans, l’hématopoïèse (formation des cellules sanguines) se produit au centre de tous les os. Si la fonction de la moelle osseuse et du sang est altérée, un cancer du sang (leucémie) est bien souvent diagnostiqué. Les défenses de l’organisme reposent sur la coordination mutuelle des organes lymphoïdes et des leucocytes.

Leucocytes

Les leucocytes, autrement dit les globules blancs, sont à la base de la réponse immunitaire et participent au bon fonctionnement du système immunitaire. Il existe de nombreux types différents de leucocytes (macrophages, lymphocytes B, lymphocytes T, monocytes, granulocytes, etc.). Chacun d’eux possède une fonction spécifique et assure, via leur coopération, la défense immunitaire complexe. La majorité des globules blancs se déplacent librement dans le sang et assurent cette réponse immunitaire, soit par phagocytose (ingestion de particules, le plus souvent un groupe de leucocytes appelés granulocytes, monocytes et macrophages), soit par activité cytotoxique (destruction des cellules infectées, dite immunité à médiation cellulaire, le plus souvent assurée par les lymphocytes T) ou par production d’anticorps (appelée immunité humorale, le plus souvent assurée par les lymphocytes B). Les leucocytes luttent contre les cellules tumorales, les virus ou les bactéries, protégeant l’organisme des maladies. Si les leucocytes ne fonctionnent pas ou s’ils perdent leur capacité immunitaire, des troubles plus graves peuvent survenir, c’est ce qu’on appelle l’auto-immunité ou le déficit immunitaire. La présence de leucocytes dans l’urine est le signe d’une éventuelle maladie, par exemple une lésion inflammatoire du rein ou des voies urinaires. Par ailleurs, la présence de globules blancs dans l’urine indique une occurrence pathologique, qui signale que le système immunitaire est fragilisé. Lorsque le nombre de leucocytes dans les urines est élevé, les médecins prescrivent généralement des antibiotiques.

Lymphocytes B et T

Les lymphocytes B et T ont leur origine dans les organes lymphoïdes primaires et s’y développent. Les lymphocytes B sont, en premier lieu, chargés de fabriquer des anticorps.

Les lymphocytes T désignent les globules blancs qui sont produits dans la moelle osseuse et mûrissent ensuite dans le thymus. Les lymphocytes T régulent le système immunitaire en sécrétant des cytokines. 

Immunité adaptative et innée

L’immunité adaptative se développe au cours de la vie par contact avec un agent pathogène que le système immunitaire doit combattre. À la suite de chaque rencontre avec cet agent (antigène), le système immunitaire s’en souvient et, si l’antigène est détecté à nouveau, le système immunitaire est capable de développer une réponse plus forte. L’immunité adaptative comprend l’immunité à médiation cellulaire (cellules qui assurent la défense), ainsi que l’immunité humorale (cellules qui sécrètent des anticorps). Ces cellules coopèrent étroitement avec les cellules de l’immunité innée, avec lesquelles une personne est née. Les cellules de l’immunité innée sont toujours présentes dans le sang, c’est pour cette raison qu’elles sont capables d’intervenir très rapidement contre tout agent pathogène. La force de leur intervention est toujours la même car elles ne créent aucune mémoire. À l’instar de l’immunité adaptative, l’immunité à médiation cellulaire ainsi que l’immunité humorale en font partie. L’immunité innée contient (dans sa partie à médiation cellulaire) des cellules NK (natural killers en anglais, c’est-à-dire des cellules tueuses naturelles), qui luttent contre les virus et les cellules cancéreuses.

Auto-immunité

L’auto-immunité désigne le système de réponse immunitaire d’un organisme agissant contre ses propres cellules et tissus sains. En d’autres termes, l’auto-immunité détruit les mauvaises cellules, mais aussi les bonnes. L’auto-immunité cause des dommages à son propre organisme, pouvant provoquer de nombreuses maladies auto-immunes, telles que la maladie cœliaque (allergie au gluten), la sclérose en plaques, le lupus, la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde et bien d’autres. Dans ces cas, le système immunitaire attaque les cellules de son propre corps et cette autodestruction entraîne de nombreux troubles différents.

Lorsque le système immunitaire est affaibli, les maladies sont plus fréquentes et leur guérison est plus longue, de même que le risque de développer des maladies cancéreuses augmente. Dans de rares cas, une personne peut naître avec une immunodéficience. Toutefois, celle-ci est le résultat le plus souvent d’une maladie ou d’un mode de vie malsain.

Troubles du système immunitaire (anomalies)

Outre une plus grande sensibilité aux infections virales, un trouble du système immunitaire est lié à de nombreuses autres maladies.

Un trouble immunitaire se développe au cours de différentes réactions allergiques/allergies causées par des allergènes. L’hypersensibilité à des substances inoffensives se manifeste par des symptômes typiques tels que rougeurs, gonflements, éternuements, vomissements, diarrhées ou éruptions cutanées. Dans les cas extrêmes, une réaction allergique grave peut provoquer un choc anaphylactique (effondrement total) ou une suffocation en raison du gonflement des bronches (œdème bronchique). Tout symptôme allergique constitue une raison de renforcer le système immunitaire

Le sida est une maladie mortelle, causée par le virus VIH qui endommage le système immunitaire. Acronyme de « syndrome d’immunodéficience acquise », le SIDA est incurable et les personnes infectées par le VIH sont contraintes de prendre des médicaments toute leur vie.

L’une des principales activités du système immunitaire consiste à détruire les cellules nocives qui pourraient entraîner un cancer. Si le système immunitaire ne remplit pas sa fonction de défense, les cellules cancéreuses se multiplient et, selon le type de cellule, le cancer se développe. La multiplication des cellules nocives doit être arrêtée pour prévenir les métastases, c’est-à-dire lorsque ces cellules attaquent d’autres parties du corps. C’est la raison pour laquelle il est important de renforcer l’immunité pour empêcher les cellules nocives de se propager. 

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