Eva – cancer du sein
En mars 2020, j’ai passé une mammographie de routine, qui a révélé une petite masse. Lors d’une biopsie effectuée par la suite, elle s’est avérée maligne. J’ai ensuite été opérée en mai et on m’a retiré une tumeur de 2,6 mm. On m’a également dit que je devais subir 25 doses de rayons. Au bout de quelques jours, j’ai découvert le Penoxal. J’ai tout de suite étudié toutes les informations, avis et recommandations qui étaient sur le site. J’ai ensuite commencé à prendre 4 gélules de Penoxal 50 mg par jour. ......... lire plus
Le cancer du sein malin est le cancer le plus fréquent chez les femmes, bien que rarement, il touche également les hommes. Malgré l’augmentation du nombre de cas, le taux de réussite du traitement et les chances de survie sont nettement plus élevés qu’auparavant, grâce à une prise de conscience accrue de l’importance de détecter les symptômes en temps opportun, aux auto-examens et aux dépistages préventifs par mammographie. Toutefois, selon les statistiques, plus de 1,7 million de cas sont détectés chaque année et les taux de mortalité restent élevés dans les pays en développement.
Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.
Les facteurs de risque sont génétiques, hormonaux, environnementaux et alimentaires. L’âge est également un facteur déterminant : 85 % des patients ont plus de 45 ans. Cependant, cette limite d’âge ne cesse de diminuer, ce qui signifie que le cancer du sein peut actuellement être diagnostiqué chez des femmes beaucoup plus jeunes. Le risque de cancer est deux fois plus élevé, chez les femmes ayant des antécédents familiaux de cancer du sein. L’apparition du cancer du sein est associée à des facteurs hormonaux. Les femmes qui ont commencé à avoir leurs règles avant l’âge de 12 ans, qui ont eu leur premier enfant après 30 ans ou qui sont entrées en ménopause après 50 ans courent un risque plus élevé. Les effets des hormones sexuelles féminines, les œstrogènes, jouent aussi un rôle important. L’hormonothérapie de substitution constitue un risque élevé, par exemple, lorsqu’elle est administrée pendant la ménopause pour atténuer les symptômes indésirables ou bien après une opération de l’utérus ou des ovaires. Les effets d’une utilisation à long terme de contraceptifs sur le cancer du sein font toujours l’objet de recherches, mais certaines d’entre elles indiquent que leur usage accroît les risques de cancer. Le régime alimentaire n’est pas non plus un facteur de risque mineur, l’obésité, un système immunitaire affaibli, une consommation accrue d’aliments gras, le tabagisme ou la consommation d’alcool augmentant également les risques de cancer.
L’apparition d’une grosseur, d’un gonflement et d’un durcissement mammaire sont les symptômes les plus fréquents, qui nous incitent à consulter un médecin. La grosseur est le premier symptôme chez la plupart des patients. Parfois, un écoulement du mamelon et son inversion peuvent se produire. La peau peut aussi devenir rouge, gonflée et ressembler à la peau d’une orange. Des grosseurs peuvent également se former à différents endroits, par exemple sous les aisselles ou sous la clavicule, là où se trouvent les ganglions lymphatiques. Le tissu mammaire possède un riche réseau de vaisseaux lymphatiques qui permet aux cellules cancéreuses de se propager et de produire une distension dans d’autres parties du corps.
Il a été démontré que faire de l’exercice régulièrement, soit 5 heures par semaine, réduisait le risque de cancer du sein jusqu’à 38 %. De plus, un système immunitaire fort empêche la prolifération des cellules cancéreuses. Outre l’élimination des facteurs de risque, il est important de garder à l’esprit que la pratique régulière d’un auto-examen des seins, ou l’autopalpation, après chaque menstruation peut révéler à temps des changements dans le tissu mammaire. Après 45 ans (ou plus selon les pays), des dépistages préventifs au moyen de mammographies sont proposés et ce, tous les deux ans. Mais, compte tenu du nombre toujours croissant de cas de cancer du sein, cette limite d’âge est en cours de réexamen.
Si de nombreux facteurs de risque se cumulent alors que le système immunitaire est affaibli, l’organisme n’a aucune chance de se défendre. Les femmes ayant des antécédents familiaux de cancer du sein doivent absolument renforcer régulièrement leur système immunitaire. Le risque de cancer du sein est toutefois bien réel, même en l’absence de toute prédisposition génétique, ce qui fait que l’immunité est un élément clé en matière de prévention. Les défenses immunitaires rencontrent des cellules indésirables presque tout le temps. Cependant, une faiblesse même mineure peut amener les cellules cancéreuses à échapper à l’attention de l’organisme, laissant la possibilité à une tumeur de se développer.