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Lucia – cancer du col de l’utérus
En 2019, j’ai commencé à souffrir d’une inflammation d’ordre gynécologique et en janvier, quelques jours avant mes 29 ans, j’ai reçu une nouvelle que probablement personne dans sa vie ne souhaiterait entendre. On m’a diagnostiqué un cancer du col de l’utérus. Cette nouvelle m’a rendue vraiment anxieuse. J’avais de plus en plus d’aphtes et de boutons de fièvre. À ce moment-là, je cherchais un complément alimentaire qui pouvait m’aider. ......... lire plus

Cancer du col de l'utérus (carcinome cervical, carcinome du col de l'utérus) – C53

Nombre de personnes atteintes d'un cancer du col de l'utérus

De plus en plus de femmes sont confrontées à ce diagnostic malheureux, qui pèse lourdement sur leur santé et leur bien-être mental. Le cancer du col de l'utérus est la deuxième cause de décès dans le monde chez les femmes de plus de 45 ans et la troisième cause de décès par cancer chez les femmes en général. Les cancers du sein et du poumon occupent les premières places. Plus d'un demi-million de cas de cancer du col de l'utérus sont diagnostiqués chaque année à travers le monde.

Comment le Penoxal aide-t-il à lutter contre le cancer du col de l'utérus ?

Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.

La dose recommandée lors d'un traitement oncologique est de 4 gélules par jour pendant 4 mois

À propos de la maladie

À l'instar d'autres types de cancer, le cancer du col de l'utérus peut être divisé en deux catégories : bénin tel que le polype endocervical et malin comme le redouté carcinome cervical. Le cancer du col de l'utérus est précédé par des modifications précancéreuses qui se divisent en plusieurs stades. La vitesse des modifications vers un stade plus avancé, et donc vers le cancer, est lié au type de virus qui provoque les changements du col de l'utérus. Les virus les plus courants sont les virus du papillome humain, ou appelés également papillomavirus humain, c’est-à-dire le HPV, transmis lors des rapports sexuels et stimulant la division et la prolifération incontrôlée des cellules dans le col de l'utérus. Toutes les femmes atteintes de HPV ne sont pas sujettes au cancer, aucun signe ne doit cependant être négligé. Une combinaison de nombreux facteurs à risque peut être à l'origine d'une infection.

Causes du cancer du col de l'utérus

Parmi les principaux facteurs de risque contribuant à l'apparition du cancer figure le HPV, qui est plus souvent présent chez les femmes changeant fréquemment de partenaires, mais aussi chez celles qui ont leur premier rapport sexuel à un jeune âge (car le col de l'utérus n'est pas complètement développé et est plus sensible aux infections). Le risque est plus élevé chez les femmes multipares ou chez celles qui ont plus de 45 ans. Toutefois, le cancer touche de plus en plus de femmes plus jeunes. La déficience du système immunitaire, favorisant l'invasion virale dans l’organisme, est un facteur important. Si le système immunitaire est fragilisé par le tabagisme et en raison d’une mauvaise alimentation, sa capacité à résister aux infections diminue encore davantage. 

Symptômes du cancer du col de l'utérus

Les symptômes diffèrent selon le type de cancer. Les stades précancéreux faciles à traiter ne présentent toutefois aucun signe avant-coureur. Les symptômes typiques, mais tardifs, se manifestent par des saignements entre les menstruations, des pertes vaginales malodorantes, des douleurs et des saignements lors des rapports sexuels ou des problèmes de miction. Par conséquent, aucun problème ne doit être sous-estimé et doit inciter à consulter un médecin.

Prévention du cancer du col de l'utérus

La solution la plus efficace consiste à éviter les facteurs de risque, bien que certains soient difficilement influençables tels que la déficience immunitaire congénitale ou l'âge. Des bilans gynécologiques réguliers sont essentiels (à partir de 15 ans, 1 fois par an). Ils peuvent donner lieu à des frottis du col de l'utérus et à des examens cytologiques, pouvant révéler tout changement ou symptôme. La vaccination contre le cancer du col de l'utérus suscite actuellement un intérêt accru. Toutefois, les vaccins n'agissent que contre les quatre types de papillomavirus les plus courants, qui sont à l’origine du cancer du col de l’utérus. Ceux-ci peuvent empêcher l'infection par le VPH pendant une période pouvant aller jusqu'à 10 ans, mais ne peuvent pas la guérir. Les filles de 13 ans peuvent se faire vacciner gratuitement. Toutefois, la mesure préventive la plus importante consiste à renforcer régulièrement le système immunitaire.

Impact du système immunitaire sur le cancer du col de l’utérus

Un système immunitaire résistant peut largement influer sur la prévention des maladies gynécologiques ainsi que sur la guérison et le traitement du cancer du col de l'utérus. La résistance accrue de l'organisme peut progressivement faire disparaître un problème détecté lors d'un examen cytologique. Tout diagnostic positif, consécutif à un frottis devrait automatiquement se traduire par un renforcement ciblé du système immunitaire afin de prévenir une maladie plus grave comme le cancer du col de l'utérus. Il est conseillé de stimuler l'immunité par des changements de mode de vie (sommeil sain, absence d'alcool ou de cigarettes, etc.).

Informations complémentaires