Ivette - tumeur maligne sur un ovaire
Comme tout le monde, lorsque j’ai appris que j’étais gravement malade, j’ai cherché tout ce qui pouvait m’aider. Je souffrais de douleurs inexplicables au ventre et au dos depuis plusieurs années. Début 2018, j’ai commencé à remarquer que je perdais du poids et j’étais très fatiguée. Finalement, après avoir insisté, j’ai réussi à passer une échographie du ventre. On a découvert qu’il s’agissait apparemment d’un problème au niveau de la vésicule biliaire, qui a alors été opérée en avril 2018. Mais pendant l’opération, les nerfs des deux jambes ont été touchés, à partir de mes genoux. Je ne sentais donc plus mes jambes. Je ne pouvais plus marcher correctement, mes jambes se pliaient et sautaient comme une sauterelle et avançaient comme si je faisais du karaté. On m’a expliqué qu’il s’agissait d’une compression du nerf péronier. Mes douleurs dans le ventre étaient toujours présentes et celles de mon dos étaient de plus en plus fortes.
Comme rien ne s’améliorait, j’ai été hospitalisée au service de neurologie, où je suis restée sous perfusion tout le temps. Après une semaine de traitement, je suis sortie et j’ai commencé des séances de rééducation. Les médecins ont montré à mon mari les exercices et les massages que nous devions faire à la maison pour améliorer ma santé. Je ne pouvais pas me déplacer sans béquilles, j’avais des vertiges et des problèmes de déséquilibre. Mes douleurs dans le dos et le ventre ont persisté et j’ai beaucoup maigri (environ 20 kg en l’espace de 4 mois). Je ne pouvais rien manger à cause de la douleur et je suis devenue anxieuse et remplie de désespoir. Mon médecin généraliste a affirmé que tout reviendrait à la normale et que mes douleurs disparaîtraient, mais cela n’a pas été le cas. J’ai donc pris rendez-vous avec un autre médecin (gastroentérologue) que je connaissais. Quand il a vu dans quel état j’étais, il a tout de suite compris que quelque chose n’allait pas. Il m’a aussitôt envoyée passer un scanner où, après un examen histologique, on a découvert que j’avais une tumeur maligne sur un ovaire, l’intestin grêle et le gros intestin et de nombreuses autres plus petites dans tout le ventre. On m’a immédiatement envoyée dans une clinique spécialisée en cancérologie.
J’y ai rencontré mon ancienne collègue, qui avait elle aussi un cancer, et c’est elle qui m’a recommandé d’essayer le PENOXAL. J’ai été un peu surprise par le prix, il est assez onéreux. Cependant, j’ai lu très attentivement les avis et je l’ai donc commandé avant de commencer ma chimiothérapie. Malheureusement, la chimiothérapie n’a pas fonctionné. De ce fait, en dernier recours et avec un résultat incertain, j’ai été opérée en janvier 2019.
Je prenais à cette période déjà du PENOXAL depuis trois mois. Malheureusement, la maladie était à un tel stade qu’une partie de l’intestin grêle et du gros intestin a dû être retirée et un orifice pour l’intestin grêle a été créé (iléostomie). Je prends du Penoxal tous les jours. Je n’en ai juste pas pris pendant la période où j’étais en soins intensifs. J’en ai parlé à mon médecin chirurgien. Il n’a eu aucun problème avec et l’a validé. Je suis également allée voir une nutritionniste pour remédier à mon problème d’anorexie. J’ai alors repris du poids et mon état s’est stabilisé. Maintenant, après un an d’utilisation, je peux dire avec certitude que c’était une très bonne décision. Avant, j’étais très fatiguée, comme sans énergie. Mais avec le Penoxal, j’ai pu suivre la chimiothérapie sans problème. Dommage qu’elle n’ait pas marché. Après l’opération, je n’ai pas pu en suivre d’autres car mes reins ont mal réagi. L’immunité s’est améliorée, il semble que je sois parvenue à éviter la grippe et les rhumes. Les analyses de sang se sont nettement améliorées. J’ai de l’appétit et j’ai repris mes 20 kg. Je me sens bien. Je crois dur comme fer que c’est grâce au PENOXAL. Merci pour ce produit et merci à ma collègue qui me l’a recommandé !
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Comment le Penoxal aide-t-il à lutter contre le cancer des ovaires et des trompes de Fallope ?
Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.
