Jean - cancer des poumons
Je m’appelle Jean et j’ai 74 ans. J’ai eu un cancer il y a deux ans. J’ai reçu un traitement de chimiothérapie qui m’a aidé à lutter contre le cancer du poumon et qui a bien sûr eu des effets négatifs sur mon corps. Après la chimiothérapie, j’ai été en proie à une fatigue extrême, à des sautes d’humeur excessives et à d’autres problèmes consécutifs. Toutes les personnes qui ont subi une chimiothérapie savent certainement de quoi je parle. Je cherchais moi-même parfois des informations sur mon cancer sur Internet. Un jour, je suis tombé sur une publicité pour PENOXAL. ......... lire plus
Le tabagisme à long terme a des conséquences désastreuses. Les personnes atteintes de carcinome pulmonaire ou de cancer bronchique sont, dans 90 % des cas, des fumeurs. Toutefois, le tabac n’est pas le seul facteur de développement de la maladie. D’après les statistiques, les hommes sont trois fois plus exposés au risque de cancer du poumon, mais le nombre de femmes malades ne cesse d’augmenter. On estime qu’aux États-Unis, les femmes meurent plus souvent du cancer du poumon que des cancers des ovaires, de l’utérus et du sein réunis. Sur les 7 millions de personnes qui décèdent des suites d’un cancer dans le monde chaque année, 1,3 million sont touchées par le cancer du poumon.
Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.
Le type de cancer du poumon le plus courant est, dans 80 % des cas, un cancer bronchique non à petites cellules, à croissance lente, ce qui explique qu’une intervention chirurgicale soit généralement envisagée au stade initial du traitement. Les autres méthodes de traitement (chimiothérapie et radiothérapie) ne sont pas aussi efficaces. 20 % des cas de cancer du poumon sont des carcinomes pulmonaires dits à petites cellules, qui se développent très vite et s’étendent aussi rapidement dans les tissus (métastases). Leur traitement consiste généralement en l’administration de cytostatiques (chimiothérapie) ou bien recourt à la radiothérapie puisqu’ils y répondent bien.
Comme le suggèrent de nombreuses recherches, le tabagisme prolongé, y compris le tabagisme passif, est directement associé au cancer du poumon. Le risque de développer un cancer du poumon est 13 fois plus élevé chez les fumeurs et il touche 25 % des fumeurs de longue durée. Les prédispositions génétiques font toujours l’objet d’études complémentaires. Chez certaines personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du poumon, la maladie peut ne pas se manifester du tout et ce, au regard de nombreux aspects, notamment la résistance du système immunitaire. Par ailleurs, la pollution de l’air (gaz d’échappement, amiante, uranium) dans certaines régions comporte des risques, de même que les rayonnements ionisants et le radon qui s’échappent du sol ou des matériaux de construction mal conçus. Malheureusement, les symptômes du cancer du poumon sont souvent subtils et les statistiques montrent que 60 % des tumeurs sont diagnostiquées tardivement, soit lorsque la maladie est difficilement guérissable ou en phase terminale.
Le stade initial étant souvent asymptomatique, le cancer du poumon se révèle généralement à des stades plus avancés avec quelques problèmes non spécifiques tels que la toux (différente de la toux commune d’un fumeur), la voix rauque, une fatigue accrue, une perte d’appétit et une perte de poids. Les signes avant-coureurs sont la fièvre, des difficultés à déglutir, une toux persistante associée à une expectoration de sang, ou des douleurs thoraciques évoluant vers des douleurs dorsales. La bronchite peut constituer une des manifestations du cancer du poumon.
Le pronostic est généralement défavorable du fait d’une détection tardive associée à la présence de métastases dans d’autres organes. Le traitement est donc principalement axé sur l’atténuation des symptômes et la prolongation de la vie du patient. La qualité de vie est également influencée par la robustesse du système immunitaire, qui peut supprimer certains des symptômes et combattre le processus de croissance de la tumeur.
Les mesures préventives importantes consistent à ne pas fumer et à éviter les lieux enfumés ou les environnements pollués. Il est essentiel de procéder à un examen et à un traitement précoces de tout problème respiratoire (voix rauque, toux persistante, dyspnée). L’exercice en plein air, de préférence en montagne, dans les bois ou au bord de la mer, est bénéfique pour les poumons ainsi que pour le bien-être psychique. Le risque de cancer du poumon diminue grâce à un système immunitaire fort, qui détruit naturellement les cellules nocives.
Un système immunitaire affaibli augmente les risques de cancer. L’immunité est un facteur primordial qui limite naturellement les dommages des tissus sains et empêche ainsi la croissance des tumeurs. Il en va de même pour le cancer du poumon, auquel les fumeurs peuvent être sujets. Si la diminution de l’immunité n’est pas prise en compte, les cellules saines mutent et le cancer se développe. Le psychisme a un grand impact sur le fonctionnement du système immunitaire. Lorsqu’une personne est submergée par des émotions négatives, la solution n’est pas de saisir une cigarette, mais de se promener dans la nature, de favoriser le flux d’endorphines et de commencer une cure de désintoxication et de renforcement.