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Stanley - cancer de la prostate

Une prévention sur les recommandations du médecin  

En janvier 2012, j’ai consulté mon médecin généraliste pour un problème assez banal. Comme j’avais la cinquantaine passée, il m’a proposé, entre autres choses, de faire une prise de sang et de l’envoyer à un laboratoire. Les résultats sont arrivés une semaine plus tard et mon médecin m’a dit qu’en-dehors de mon taux de cholestérol élevé, j’avais également un taux de PSA élevé. Jusqu’alors, je n’avais aucune idée de ce qu’était le PSA. Il m’a expliqué que cela concernait la prostate, mais que cela pouvait indiquer une inflammation. Bien que je n’aie jamais rencontré de problème, il m’a demandé d’aller voir un urologue.

Examens et diagnostics

J’ai choisi l’urologue que mon père avait l’habitude de consulter. Il m’a prescrit des médicaments et, une fois terminés, j’ai subi un examen urologique. Le taux de PSA était le même qu’avant le traitement, une biopsie m’a donc été prescrite. Quand j’ai demandé si une autre alternative existait, la réponse a été oui, mais elle n’était pas couverte par l’assurance maladie. J’ai alors payé l’analyse d’urine pour découvrir un mois plus tard que les chances que quelque chose n’aille pas étaient élevées. J’ai donc quand même dû subir la biopsie. Ce n’était pas très agréable mais supportable. En dépit de son professionnalisme, mon médecin m’a annoncé brutalement en regardant les résultats : « Vous avez un cancer et vous pouvez choisir le lieu de l’opération ». À ce moment-là, mon univers s’est écroulé et j’étais bien content d’être assis.

Modification du mode de vie et Penoxal

Depuis le jour où j’ai reçu mon diagnostic, j’ai changé beaucoup de choses. J’ai décidé de suivre une voie alternative, même si je n’ai pas renoncé à la médecine classique. J’ai modifié mon régime alimentaire et exclu certains aliments. Peu à peu, j’ai cessé de consommer du sucre. Je dois ajouter que je ne fume pas et que je ne bois pas d’alcool. Si je prends une bière, ce n’est qu’occasionnellement. J’ai arrêté de manger de la viande rouge, mais je mange plus de poisson, beaucoup de fruits et de légumes. En hiver, nous faisons des jus de fruits et de légumes. J’ai également arrêté de boire des produits laitiers à base de lait de vache, comme cela est recommandé. Je prends plutôt du lait de chèvre, du fromage ou du yaourt. À la maison, nous avons maintenant du potiron, de l’huile de lin ou de noix de coco, mais aussi du poivre de Cayenne, du curcuma, etc. Je fais de mon mieux pour prendre suffisamment de vitamine C en comprimé ou en poudre, mais de préférence en buvant du jus d’argousier. Depuis que j’ai découvert le complément alimentaire naturel Penoxal, j’en prends 4 fois par jour.

Résultats de l’opération et radiothérapie

L’opération s’est bien déroulée et je n’ai donc pas eu besoin de radiothérapie. Malgré cela, j’ai dû faire face à de nombreuses conséquences postopératoires telles que des problèmes d’incontinence et d’érection, ce qui a été très problématique pour moi. Depuis, je me fais régulièrement examiner par un médecin. J’ai également eu recours à la biorésonance, qui a permis d’améliorer mes résultats et d’éliminer les parasites, les levures, etc. Malheureusement, en raison de la hausse de mon taux de PSA, j’ai dû passer une nouvelle série d’examens et le service d’urologie a décidé de me faire suivre une radiothérapie. Les résultats sont bons et je continue à prendre du Penoxal pour renforcer mon immunité et contrer les effets secondaires de la thérapie.

Conclusion

Le cancer est un combat et j’ai choisi de le gagner. Ma femme, que j’ai épousée récemment après 10 ans de vie commune, m’apporte un grand soutien. Mes passe-temps (la pêche et les voyages) m’aident aussi beaucoup. Il était difficile de combiner cette maladie et le traitement avec les choses que j’aime. Par chance, j’ai réussi à trouver le bon complément alimentaire, le Penoxal, qui m’a aidé à bien supporter le traitement et à obtenir de bons résultats. Bien sûr, mon happy end est aussi dû aux changements alimentaires qu’il a fallu faire.

 

 

Informations complémentaires concernant cet article:

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Comment le Penoxal aide-t-il à lutter contre le cancer de la prostate ?

Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.