En 2014, on m’a enlevé la thyroïde, mais j’ai continué à me sentir très fatiguée. Lors de l’examen suivant, les médecins ont découvert un lymphome folliculaire à l’endroit où se trouvait la thyroïde. J’ai subi une opération, puis une radiothérapie. J’ai pris du Penoxal pendant toute la période et en ai été très satisfaite. Durant la thérapie, les médecins craignaient que je perde l’appétit et du poids. Mais grâce au Penoxal, j’avais bon appétit et je me sentais bien. Je démarre une thérapie biologique qui va durer deux ans et j’ai bien l’intention de prendre du Penoxal pendant toute la durée du traitement.
Chimiothérapie et thérapie biologique
J’ai commencé à prendre du Penoxal après avoir eu des problèmes avec la thyroïde qui a été enlevée à cause de son hypertrophie et d’une fatigue persistante. Après les problèmes de thyroïde, on m’a diagnostiqué un lymphome folliculaire, puis j’ai suivi une chimiothérapie, six cycles toutes les trois semaines, et je débute une thérapie biologique qui se déroulera tous les deux mois et qui durera deux ans.
Mon état de santé en prenant Penoxal
J’ai pris du Penoxal deux fois par jour pendant toute la chimiothérapie et actuellement, je continue à en prendre tout en suivant la thérapie biologique, mais je n’en prends qu’un comprimé par jour à titre préventif. Pendant la chimiothérapie, j’étais un peu fatiguée, mais je n’ai pas perdu l’appétit et il me semble que j’ai mangé tout au long du traitement sans aucune difficulté. Pendant la chimiothérapie, je n’ai été malade qu’une seule fois, en raison d’un proche qui avait attrapé la grippe. J’ai donc été malade à Noël. Sinon, ma santé a été bonne, ce qui est exceptionnel chez moi.
Évaluation globale et recommandation
Je suis très satisfaite des effets du Penoxal, c’est pour cela que je continue à le prendre. Si quelqu’un, ma famille comprise, tombait malade, je lui recommanderais immédiatement le Penoxal. Les conséquences de la chimiothérapie auraient pu être plus graves sans le Penoxal, parce que la plupart des patients que j’ai rencontrés étaient malades et ont perdu l’appétit, mais moi, tout allait bien. Mon médecin a été surpris que je ne perde pas de poids. J’ai toujours été très mince, donc il craignait que la chimiothérapie ne me rende malade, qu’il faille la modifier, la diluer ou la renouveler, mais je m’en suis bien sortie, sans aucun problème.
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Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.
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