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Miroslava, Slovaquie – Ma vie avec l’endométriose

Je vais commencer par le début. J’ai eu mes premières règles juste avant mes 12 ans. Je me souviens qu’au début, je ne savais même pas ce que c’était. Les symptômes se manifestaient par des frissons, des vomissements, des sueurs, des crampes insupportables et de la diarrhée. Je n’avais pas réalisé que c’était mes premières règles jusqu’à ce que je commence à avoir plus de sang. Après avoir vécu cette expérience, j’espérais que mes prochaines règles ne seraient pas aussi pénibles. Ce fut une erreur car, chaque mois, mes règles duraient entre 9 et 11 jours dont deux jours dans l’état que je viens de décrire. Bien sûr, je restais à la maison et j’étais régulièrement absente de l’école. Les autres jours, je souffrais moins, mais en comparaison, je me sentais tout aussi vidée. Aucun médicament ne m’aidait, et s’il le faisait, ce n’était que pour une courte durée. Aller aux urgences ou chez le gynécologue pour obtenir des injections était devenu habituel. Les injections ont rendu ces journées moins difficiles, mais sur le long terme, c’était loin d’être idéal. Mon gynécologue m’avait dit qu’il fallait que je tienne bon, que les femmes quel que soit leur âge ont des douleurs pelviennes et que je ne devais pas me laisser abattre. D’après lui, me mettre au chaud et quelques médicaments devaient m’aider. Ça n’a pas marché.

À l’âge de 15 ans, le gynécologue a finalement décidé de me prescrire une contraception. Elle m’a débarrassée des douleurs et des symptômes et m’a rendu la vie beaucoup plus facile. Mais les années ont passé et mes symptômes sont revenus, de plus en plus fréquemment, et j’ai réalisé que la contraception n’était pas une bonne solution pour moi en termes de santé. Comme mon gynécologue ne pouvait pas m’aider, j’ai décidé d’en changer. Mon nouveau gynécologue m’a alors diagnostiqué une endométriose. À cause de cette maladie, j’ai des crampes sévères et bien d’autres problèmes. Je n’avais aucune idée de ce que c’était jusque-là. J’étais abasourdie par la nouvelle car je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que mon premier gynécologue me disait.

J’avais un taux élevé de CA125. J’ai été mise sous traitement hormonal ciblant mon endométriose, ce qui a stoppé mes règles pendant quelques années. Je n’ai pas eu une goutte de sang pendant le traitement et je me suis sentie bien. Par contre, une fois que j’ai arrêté le médicament après avoir consulté mon gynécologue, le cauchemar est revenu. Les kystes étaient de plus en plus nombreux. J’ai réussi à supporter les douleurs avec des médicaments jusqu’à ce que je découvre le complément alimentaire Penoxal sur Internet durant l’automne 2019. 

Au début, j’avais peur de me lancer, principalement parce que je ne voulais pas être déçue. Mais finalement, un ami m’a encouragé à l’essayer. J’ai alors commandé ma première boîte et puis la seconde. Après presque deux mois de prise de Penoxal 50 mg, deux comprimés le matin et deux le soir avant mes règles, pour la première fois de ma vie, mon état de santé s’est amélioré et sans traitement hormonal. Les symptômes se sont atténués. Les douleurs dans mon bas-ventre ont diminué pendant mes règles. Les deux premiers jours où j’avais des crampes insupportables ont été réduits à une journée avec des douleurs très supportables et je n’ai plus eu besoin de consulter de médecin. Pas de sueurs, de tremblements ou de vomissements. Ça me semblait invraisemblable. J’avais peur de me réjouir prématurément. J’ai donc décidé d’attendre le mois suivant et, là encore, c’était un peu mieux que le mois précédent. Lorsque j’ai commencé à écrire ce récit, c’était en décembre 2019. Un an plus tard, je le termine. J’ai donc pris le complément alimentaire Penoxal pendant une année complète. Comme le précise la notice, je l’ai toujours arrêté au bout de trois mois, le quatrième mois. Pendant un certain temps, son arrêt m’a rappelé à quel point l’endométriose était horrible, mais récemment, lorsque j’ai arrêté à nouveau le Penoxal, je me suis sentie mieux. Je peux dire que Penoxal a amélioré ma vie et qu’il vaut la peine qu’on l’essaie.

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Comment le Penoxal peut-il aider en cas d’endométriose?

Le produit Penoxal permet une guérison plus aisée et plus rapide car il renforce le système immunitaire, réduit le risque de maladies, rectifie les déséquilibres internes et harmonise les organes reproducteurs. Il constitue donc un complément approprié dans le cadre du traitement global des maladies gynécologiques, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d'autres médecins. Pour en savoir plus sur l'expérience des utilisateurs du Penoxal, cliquez ICI.