Ivan – cancer de l’œsophage
Je m’appelle Ivan et j’ai 62 ans. Je touche une pension d’invalidité car j’ai été victime d’un grave accident et j’ai subi au total neuf interventions chirurgicales. L’automne dernier, un diagnostic de diabète a été posé. Suite à cela, j’ai été soumis à plusieurs examens médicaux dont les résultats étaient mauvais et qui ont révélé d’autres problèmes. Les taux étaient élevés, ce qui signifiait qu’il y avait une importante inflammation dans le corps.
Examens médicaux et diagnostics
Tous les examens des poumons, des oreilles, des dents, étaient négatifs mais les taux de CRP étaient toujours élevés. Fin février 2017, j’ai commencé à avoir des problèmes de déglutition et le médecin m’a envoyé passer un examen gastrique complémentaire. Ils ont découvert que j’avais une tumeur maligne, ce qui a été confirmé par les examens histologiques. Puis j’ai passé un scanner et il s’est avéré que la tumeur était plus grosse, 8 cm, et qu’elle formait des métastases jusqu’aux ganglions. Vu la situation, les médecins m’ont annoncé que cette tumeur était inopérable et que je devais suivre une chimiothérapie dite préopératoire et que (peut-être) l’opération serait possible par la suite.
Comment j’ai commencé à me battre
Quand je suis tombé malade, j’étais psychologiquement épuisé parce qu’on m’avait expliqué qu’avec ce genre de tumeur, j’avais 25 % de chances de pouvoir survivre. J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai commencé à naviguer sur Internet pour trouver des informations sur cette maladie. Parallèlement à ça, un ami m’avait conseillé de prendre du Penoxal, alors j’ai lu tous les renseignements sur ce produit et je l’ai commandé.
Chimiothérapie et Penoxal
À partir de la mi-mars, j’ai commencé à prendre du Penoxal 50 mg quatre fois par jour. J’ai débuté le premier cycle de chimiothérapie le 21 avril 2017. Lors de l’entretien d’accueil, un médecin m’a expliqué comment les choses allaient se dérouler. Je veux parler des effets secondaires qui surviennent couramment pendant la chimiothérapie, la maladie, les nausées constantes, les éventuels vomissements, les problèmes de selles, la diarrhée ou la constipation et autres, sans oublier la perte de cheveux bien sûr.
J’ai rencontré à l’hôpital quatre patients âgés de 23 à 55 ans. Chacun d’entre eux, sans exception, avait des problèmes liés au fait d’être très malade. Ils ne pouvaient même pas manger alors que moi, j’avais un appétit inouï. Certains m’ont confirmé qu’ils avaient des problèmes pour aller aux toilettes. Pour ma part, je n’ai eu aucun problème pour uriner et avoir des selles. Tous les quatre ont perdu leurs cheveux au cours du premier cycle de chimiothérapie, entre dix jours et trois semaines. La photo en pièce jointe a été prise hier. Les médecins n’en croient pas leurs yeux. Moi, si. Je suis sûr que je tolère bien la chimiothérapie grâce au Penoxal que je prends depuis longtemps. Vous pouvez en juger par vous-même.
Dans le milieu médical
Je tiens à souligner que les médecins m’ont interdit de prendre tout produit naturel. Ils n’ont pas voulu entendre parler du fait qu’en plus de la chimiothérapie et de la radiothérapie, il pouvait y avoir autre chose provenant de mère nature qui puisse aider. En plus du Penoxal, je prends d’autres compléments alimentaires. Je ne dis pas qu’ils soient bénéfiques pour lutter contre le cancer.
Lors d’une consultation, le médecin m’a dit : « Je ne peux pas vous interdire d’en prendre, mais nous n’aimons pas que les patients se livrent à leurs propres expériences pendant le traitement car ils ne peuvent se faire plus de mal que de bien ».
Je ne saute pas encore de joie car je vais entamer le deuxième cycle de chimiothérapie, mais si tout se passe aussi bien que le premier cycle, je serai vraiment content. Bien sûr, pas sans prendre du Penoxal !
Immunité et maladies
Tout commence avec l’immunité et se termine avec elle. C’est comme une boucle. Et lorsque des perturbations se produisent dans la boucle, un grave problème de santé survient. Par exemple, j’ai un ami qui souffre d’asthme sévère et de BPCO. Depuis trois ans, les médecins essaient de le soigner. Il a été dans plusieurs hôpitaux et cliniques. Cela fait trois ans qu’il est perfusé et qu’il prend des médicaments. Résultat : zéro, au sens propre du terme. Je lui ai donc recommandé le Penoxal. Si je ne me trompe pas, il en prend depuis un mois et se rétablit tout doucement.
Recommandations
Souvenez-vous de deux choses. Il faut avoir un état d’esprit positif et la volonté de se battre. Une personne atteinte de cancer doit absolument rester sous surveillance, même après son traitement. Le cancer est sournois et peut réapparaître à tout moment, peut-être même à un autre endroit... Personnellement, je prendrai (après mon rétablissement et je le ferai) du Penoxal à titre préventif et pour renforcer mon système immunitaire.
En dépit de tous ces problèmes, j’adore la vie !
P.S. : il y a une autre CHOSE VRAIMENT IMPORTANTE que vous devez savoir ! Malheureusement, le cancer est vraiment insidieux, donc le SOUTIEN FAMILIAL est très IMPORTANT pour chacune des personnes malades !
Lorsque nous savons que nous ne sommes pas seuls DANS CE COMBAT, nous avons beaucoup plus de chances de gagner… pour nous-mêmes et nos proches ...!
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Comment le Penoxal aide-t-il à lutter contre le cancer de l’œsophage ?
Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.
