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Emma – endométriose

Des symptômes ignorés 

C’est à l’âge de douze ans que j’ai eu mes premiers kystes sur les ovaires. Mon ventre était très ballonné et j’ai eu de terribles maux de ventre pendant 48 heures. Le médecin a dit que c’était normal et m’a donné des antidouleurs. Il arrivait que je sois absente de l’école et de rester à la maison quelques jours le temps que ça aille mieux. On m’a dit de prendre une contraception contre les kystes, alors je l’ai essayée quand j’ai eu 16 ans et les kystes ont vraiment disparu. Malheureusement, j’ai commencé à souffrir à d’autres endroits et à avoir des cystites. Lorsque j’ai réalisé que je prenais des antibiotiques six fois par an et que mon médecin n’a rien fait pour y remédier, j’avais à ce moment des inflammations un peu partout. Malgré le fait d’avoir changé de médecin, il n’y a eu aucune amélioration. J’ai donc appris à vivre avec, je buvais environ 5 litres d’eau par jour et j’ai réussi à maîtriser la maladie avec une prévention absolue (je ne prenais des antibiotiques qu’« une seule fois » par an).

À 22 ans, j’ai décidé d’arrêter la contraception. Pendant quelques mois, tout allait bien, puis les kystes, les crampes et les douleurs sont réapparus. Mais mon nouveau médecin m’a souri au nez en me disant que j’étais probablement douillette. Alors, j’ai repris des analgésiques et je restais allongée pendant quelques jours lorsque les problèmes revenaient, c’est-à-dire environ une fois par trimestre ou une fois par mois. Et puis, j’ai commencé à réaliser que le problème était relativement gérable pendant mes études, mais comment faire au travail. J’ai une nouvelle fois changé de médecin et pour la première fois, il ne s’est pas moqué de moi et il a même eu un peu peur en m’écoutant. En fait, à cette époque, j’avais déjà au moins sept kystes sur les deux ovaires. Chacun de mes mouvements me faisait mal et chaque mois, pendant trois ou quatre jours, je restais allongée, en larmes, persuadée qu’il ne s’agissait que d’une ovulation douloureuse et qu’il fallait que je m’y habitue.

Une opération après l’autre

Malheureusement, avant que ce nouveau médecin ne m’examine d’un peu plus près (« tu es jeune, je te verrai dans trois mois »), la douleur était si forte qu’après un long moment, je me suis laissée convaincre de me rendre aux urgences à cause de mes maux de ventre. J’y ai été immédiatement hospitalisée. Les résultats des analyses sanguines ont montré une inflammation importante dans mon corps. Le lendemain, les résultats des autres analyses étaient encore plus alarmants, alors on m’a opérée une première fois.

Auparavant, je vivais avec des restrictions mais ce n’était pas si grave. Après l’opération, c’était bien pire. Je marchais courbée uniquement. Les semaines passèrent et mon état ne s’améliorait pas. Personne ne comprenait ce qui n’allait pas chez moi. La deuxième opération a consisté à retirer les trompes de Fallope qui étaient endommagées. Je n’avais toujours pas de diagnostic sensé, à part « une inflammation chronique des ovaires et des trompes de Fallope ». Je prenais des dizaines d’antibiotiques. Et je voyais que mes chances d’avoir une vie de famille se réduisaient.

Mon état était désespéré, je ne pouvais même pas m’asseoir sans douleur. J’ai cessé d’aller à l’école et j’ai quitté mon travail. Ce sont mes parents et mon petit ami qui m’ont soutenue financièrement. Sans compter que les dépenses pour tout traitement alternatif étaient colossales. Certains d’entre eux m’ont un peu aidée, d’autres non. Après avoir analysé les kystes qui m’avaient été enlevés, on m’a diagnostiqué une endométriose. On m’a prescrit plusieurs traitements hormonaux ainsi que des antibiotiques car j’avais une inflammation des voies respiratoires. Je ne pouvais pas dormir, je ne pouvais pas manger. Le bain et les quelques exercices spécialisés m’ont un peu aidée, mais je ne pouvais toujours pas aller travailler.

Une solution simple qui m’a surprise

Après cela, ma grand-mère, que je remercie d’ailleurs beaucoup, m’a envoyé un lien vers le site Internet Penoxal. Après seulement un mois de traitement, ma grippe et mon angine ont disparu. Après encore un mois, mes douleurs au ventre ont également disparu. Au bout de trois mois de traitement au Penoxal, je suis partie en vacances à la mer avec mon petit ami, après presque deux ans d’opérations et d’hospitalisation. À mon retour, j’ai retrouvé un emploi à temps plein.

Je continue à prendre du Penoxal. En comptant les petites pauses, cela fera maintenant un an. Ma digestion est redevenue normale et je peux désormais voyager sans problème. Au printemps, j’ai même couru un semi-marathon et, cet été, j’aurais peut-être enfin passé mes examens de fin d’études. Malgré le fait que l’analyse de sang des kystes qui m’ont été retirés ait confirmé l’endométriose, je ne prends pas d’hormones, mais seulement 4 gélules de Penoxal pour l’immunité et tout fonctionne comme il se doit.

Qu’est-ce que cela signifie ? Écoutez votre corps, ne vous laissez pas abattre par les résultats de vos analyses ou examens, quels qu’ils soient. Croyez-en mon expérience, si l’immunité va bien et que vous vous sentez bien, tout le reste ira mieux avec le temps.

 

 

Informations complémentaires concernant cet article:

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Comment le Penoxal peut-il aider en cas d’endométriose?

Le produit Penoxal permet une guérison plus aisée et plus rapide car il renforce le système immunitaire, réduit le risque de maladies, rectifie les déséquilibres internes et harmonise les organes reproducteurs. Il constitue donc un complément approprié dans le cadre du traitement global des maladies gynécologiques, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d'autres médecins. Pour en savoir plus sur l'expérience des utilisateurs du Penoxal, cliquez ICI.