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Joan - cancer des voies biliaires

Cancer et métastases 

Jusqu’à l’âge de 46 ans, je me rendais chez les médecins uniquement pour des examens préventifs, c’est-à-dire chez le dentiste, le gynécologue et l’ophtalmologue. Pendant les vacances de Noël 2014, j’ai commencé à me sentir très fatiguée et l’ensemble de mon corps a commencé à s’affaiblir. Mon teint était en train de pâlir. La première semaine de l’année 2015, je ne pouvais même pas faire dix pas en une seule fois, je ne pouvais pas non plus monter des escaliers sans m’appuyer avec les mains et j’étais blanche comme un linge. Au travail, ma collègue et mon responsable m’ont forcée à aller voir un médecin. 

Et c’est là que tout a commencé : une hospitalisation immédiate, de multiples transfusions sanguines (je n’avais plus de globules rouges) et un tas d’examens éprouvants. Au bout d’une semaine, exactement le jour de mes 47 ans, on m’a diagnostiqué un cancer des voies biliaires (ampoule de Vater) avec invasion dans les muscles. On m’a ensuite opérée et on m’a enlevé complètement la vésicule biliaire et le duodénum, ainsi qu’une partie du pancréas, de l’estomac, de l’intestin grêle et du gros intestin, et une grande partie du tissu musculaire qui les entourait. Pour rendre le tube digestif fonctionnel, les chirurgiens m’ont posé des « raccords ». Comme une grande partie de la zone affectée avait été retirée, je n’ai pas eu à subir de chimiothérapie, j’ai simplement dû prendre des médicaments avant chaque repas. J’ai passé des examens de contrôle tous les trimestres et, pendant un an et demi, tout allait bien. 

Pendant les vacances de 2017, j’ai passé un scanner qui a révélé des lésions pulmonaires. J’ai alors subi une autre opération au cours de laquelle les métastases et une partie du poumon droit ont été enlevées. Par chance, je n’ai pas eu besoin d’appareil et mes poumons sont parvenus à fonctionner d’eux-mêmes. J’ai ensuite entamé une chimiothérapie, au cours de laquelle j’ai avalé des tonnes de pilules. Dans l’ensemble, je me sentais très mal. J’ai ensuite passé des examens de contrôle tous les trois mois, mais cela n’a duré que deux ans. 

J’ai passé un nouveau scanner et pas moins de 8 métastases dans le même poumon ont été découvertes. Malheureusement, les médecins ont décidé qu’une opération n’était pas possible en raison des risques considérables. Une fois par semaine, j’ai donc suivi une chimiothérapie et j’ai également commencé à chercher un autre traitement. J’ai une amie qui pratique la médecine chinoise, elle m’a donc recommandé divers champignons. Sur Internet, j’ai découvert PENOXAL, qui m’a intéressée et que j’ai tout de suite commandé. À partir du moment où j’ai commencé à prendre du PENOXAL et des champignons chinois, la chimiothérapie est devenue plus supportable. Au bout de 4 mois, mon état s’est stabilisé et l’intervention a été possible. Une grande partie de mon poumon (13,5 / 11 cm) a été enlevée là où il devait y avoir au moins 8 métastases. En réalité, une seule métastase a été trouvée après l’examen histologique du tissu prélevé. Ni le chirurgien ni mon cancérologue n’ont compris où les autres métastases étaient passées, étant donné que la chimiothérapie n’avait pour but que d’empêcher la maladie de se propager. Je pense que le PENOXAL et les champignons chinois ont joué un rôle important. Après l’opération, j’ai poursuivi la chimiothérapie et grâce à ces produits, le traitement a été tolérable et j’ai pu le terminer avec succès. 

À l’heure actuelle, mon dernier bilan a montré que j’étais pratiquement en bonne santé. Je continue à prendre du PENOXAL deux fois par jour et je continuerai à le faire parce que, selon moi, je n’ai pas eu de problèmes post-opératoires grâce à lui, ma chimiothérapie n’a pas entraîné de problèmes majeurs, ma digestion est bonne et je pense que mon état mental s’est également amélioré grâce au fait que j’ai cru à ses effets. 

Je recommande ce produit à toutes celles et à tous ceux qui ont des problèmes de santé, mais je suis convaincue que même les personnes en bonne santé y gagneraient en l’utilisant.

 

 

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Comment le Penoxal aide-t-il à lutter contre le cancer des voies biliaires?

Un bon système immunitaire peut faire face aux cellules cancéreuses et les détruire, mais il a parfois besoin d’aide. Il est important de stimuler le système immunitaire et d’aider à optimiser son activité pour qu’il soit suffisamment efficace afin de combattre les cellules cancéreuses et ce, également pendant un traitement par radiothérapie ou par chimiothérapie étant donné qu’il aide à surmonter certains de ses effets indésirables. En outre, cela améliore le fonctionnement du tractus digestif, du foie, des reins et des autres organes qui sont soumis à un grand stress pendant le traitement du cancer, favorisant ainsi un fonctionnement sain de l’organisme et un bien-être général. Ce renforcement est donc approprié dans le cadre du traitement global des maladies cancéreuses, ce que confirme le rapport consacré au Penoxal du docteur Anna Galambošová, du docteur Tomáš Arndt et d’autres médecins. Pour en savoir plus sur l’expérience des utilisateurs concernant le Penoxal, cliquez ICI.