Maria - manque d'immunité muqueuse

Je suis mère de trois enfants âgés de 15, 9 et 6 ans, dont deux filles et un garçon. Les problèmes ont débuté lorsque mon fils est entré à l’école maternelle, ce qui fait maintenant presque sept ans. Au début, cela a commencé par de simples glaires, puis de la toux incessante et de la fièvre. Un traitement de soutien a d’abord été mis en place. Les maladies infantiles les plus courantes ont fini par laisser place à des problèmes plus sérieux. On a assisté à une augmentation des infections bactériennes affectant les sinus : sinusite, laryngite, bronchite. Les allergies sont apparues à leur tour. Mon fils n’était jamais le seul à être malade. Mes deux autres filles, mon mari et moi-même, attrapions systématiquement sa maladie. Mon dernier congé de maternité avec ma plus jeune fille s’est progressivement transformé en cauchemar. À peine mon fils était-il tombé malade que ma première fille tombait elle aussi malade et, au bout de deux jours, c’était au tour de ma seconde. Mon mari et moi étions les derniers. Une fois guéris, une nouvelle vague recommençait, initiée bien évidemment par mon fils. Ça a duré presque 7 ans et nous prenions des antibiotiques 1 à 2 fois par mois. Pour certains, le fait que ce ne soient que des maladies infantiles courantes peut sembler banal, pourtant ce n’est pas le cas. Chacun de mes enfants prenait 10 à 12 antibiotiques par an, il me semble que c’est trop pour un organisme de petite taille qui se développe. Il ne s’est jamais passé une maladie sans traitement antibiotique. Les indicateurs de CRP dépassaient les 100 et les prélèvements montraient des bactéries (Branhamella cataralis, streptocoques, staphylocoques, haemophyllus influenza, etc.). Alors, bien sûr, nous avons consulté un immunologue.

Les analyses sanguines approfondies et successives ont confirmé une baisse de la production d’anticorps. Cette baisse n’était cependant pas suffisante pour qu’il puisse prescrire de l’immunoglobuline à mes enfants. En effet, la compagnie d’assurance ne rembourse que les patients qui ont un taux d’anticorps très faible dans leur sang. Mes enfants étaient à la limite. L’immunologue nous a confirmé que l’immunité des muqueuses des enfants faisait défaut et que, par conséquent, chaque bactérie, qui apparaissait sur la muqueuse du nez ou de la gorge, pouvait les vaincre. Il leur a donc prescrit des médicaments ordinaires. Leur effet était si médiocre que lorsqu’ils les prenaient, ils parvenaient à peine à rester en bonne santé, mais dès que les médicaments étaient épuisés et après une pause de 28 jours, ils tombaient malades. Ils ne prenaient alors plus que 7 à 8 antibiotiques par an. En tant qu’infirmière et connaissant les effets nocifs des antibiotiques, je n’ai jamais été satisfaite de l’état de santé de mes enfants. C’est pour cela que j’ai recherché des alternatives. J’ai donc essayé des compléments alimentaires comme par exemple : l’aloe vera, l’huile de Kryll, l’huile d’olive, plusieurs probiotiques, les vitamines C, B, A, D, E, le miel, la propolis, les inhalations en ampoules Yabro (acide hyaluronique), l’eau de mer en rinçage nasal, le bio-colostrum liquide et même les sachets BioBran. Rien ne nous a aidés. J’étais désespérée et désemparée. Nous ne pouvions pas nous débarrasser des antibiotiques, les enfants manquaient l’école de nombreuses fois et je ne pouvais pas travailler, même si j’aurais vraiment aimé. Il ne restait plus de quoi payer un traitement de soutien coûteux. Qui emploierait une mère qui resterait constamment à la maison pour soigner ses enfants malades ? Personne. Nous étions pris dans un cercle vicieux dont il était impossible de sortir. 

Un jour, me voyant en larmes, une amie m’a donné une boîte de 120 comprimés de Penoxal 50 mg pour que je le teste sur les enfants. À vrai dire, après avoir essayé sans succès tellement de compléments alimentaires, je n’ai même pas voulu l’accepter. Elle a fini par me convaincre en me disant que si cela n’aidait pas, je n’avais pas besoin de poursuivre le traitement. J’ai donc donné la moitié d’une gélule de 50 mg 2 fois par jour aux plus jeunes et 4 fois par jour à l’aînée.

Lorsque les enfants l’utilisaient, j’ai remarqué qu’ils ne toussaient plus, qu’ils respiraient mieux, qu’ils n’avaient pas de rhinite accompagnée de glaires vertes ou jaunes à cause de bacilles. Alors, après avoir fini la boîte de Penoxal, j’ai supplié mon amie de m’en procurer une autre. Après l’avoir terminée, j’en ai commandé une autre pour mon mari et moi. Nous les prenons depuis avril 2019 et nos problèmes ont disparu. Les enfants n’ont pas pris un seul antibiotique depuis ! Ça fait 5 mois maintenant !!! Pour moi, une si longue période sans antibiotiques, c’est un vrai MIRACLE ! Je suis infiniment reconnaissante envers mon amie. Sans elle, nous serions condamnés à vivre dans la souffrance. Et bien sûr, un grand merci à ceux qui produisent le Penoxal ! Grâce à vous, nous pouvons vivre normalement et je peux enfin aller travailler ! Nous profitons enfin de la vie sans devoir prendre d’antibiotiques !

 

 

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Comment Penoxal aide-t-il avec une immunité affaiblie?

Penoxal est un complément alimentaire d’origine naturelle contenant une substance brevetée unique appelée Biocol. Ses bienfaits sur le système immunitaire sont renforcés par la vitamine C. Penoxal soutient principalement le fonctionnement des lymphocytes B et T – les globules blancs responsables de la réponse immunitaire, il régule la mort des cellules endommagées ou malades, aide au bon fonctionnement de l’appareil digestif, soulage les symptômes de nombreuses maladies, harmonise l’ensemble du corps et contribue ainsi au bien-être général. Il n’interfère avec aucun autre médicament et, lorsqu’il est utilisé à long terme, il ne présente aucun effet toxique ou néfaste.