Je m’appelle Jindřich et je suis né en 1937. Je mesure 176 cm et j’ai longtemps pesé entre 80 et 90 kg. À 45 ans, j’ai été opéré pour me faire enlever des calculs à la vésicule biliaire. Vers 50 ans, j’ai commencé un traitement contre l’hypertension et plus tard contre le diabète de type II. En 1998, à mes 60 ans, j’ai pris ma retraite. En diminuant mon activité physique (je faisais 3,5 km à pied aller-retour pour aller travailler), j’ai commencé à prendre progressivement du poids. À l’automne 2001, j’ai ressenti de nouveau des difficultés à respirer en marchant plus vite, mais sans ressentir de douleurs à la poitrine. On m’a diagnostiqué un BPCO sévère et ça fait 18 ans qu’on me traite pour cette maladie. Je suis fumeur depuis l’âge de 18 ans, j’ai souvent essayé d’arrêter, mais sans grand succès. Entre 55 et 59 ans, j’ai arrêté par intermittence. À 59 ans, j’ai complètement arrêté mais, à 64 ans, la maladie m’a rattrapé.
En 2003, mon taux de PSA avait augmenté lors de l’examen de contrôle et le 12 novembre 2003, j’ai subi une intervention chirurgicale. En octobre 2004, on m’a réopéré pour une inflammation chronique des voies urinaires cachée, causée par un calcul urinaire poreux. En 2004, des douleurs de la colonne cervicale et lombaire sont apparues. Les radios ont montré un protrusion partielle des vertèbres. J’avais souvent des vertiges. Après environ 5 mois, les problèmes étaient beaucoup moins importants, probablement en raison de l’absorption par le liquide céphalo-rachidien, et je ne me suis donc pas fait opérer comme prévu. En 2005, j’ai ressenti des picotements dans la poitrine pendant un effort, je me disais que cela pouvait être un problème coronaire, car j’ai des artères bouchées à 40 % et 20 % selon la dernière cardiographie. J’ai passé trois examens cardiographiques qui ont révélé une obstruction artérielle à 50 %, ce qui n’indiquait aucune mesure chirurgicale, un traitement classique m’a donc été prescrit.
En 2009, mon nez a commencé à saigner de plus en plus souvent. Avec le temps, ma dyspnée a augmenté, je ne peux marcher que très lentement en me reposant fréquemment. J’ai commencé à faire du vélo régulièrement à soixante-dix ans. Je ne bois que de la bière sans alcool, je prends du chardon-marie. Je consulte également un néphrologue pour mes reins fragiles. Je suis régulièrement vacciné contre la grippe, je suis également vacciné contre les pneumocoques, contre la jaunisse de type A et contre le tétanos. À Noël dernier, mon œsophage s’est bouché, peut-être à cause de la faim, mais après un certain temps, il a fini par se rouvrir. J’espérais que cela n’était qu’une coïncidence.
Fin mars, mon œsophage s’est bloqué deux fois en trois jours avec un aliment pourtant très pâteux et bien mâché. Il était clair que c’était un symptôme sérieux. En naviguant sur Internet, je suis tombé sur le Penoxal et j’ai immédiatement commandé la boîte la plus forte, le prix était élevé pour un retraité. J’ai toujours pensé à mon immunité et j’ai pris de nombreux compléments alimentaires ces dernières années. J’utilise également des champignons chinois et japonais de type Reishi, Cordyceps, etc. Mais je ne connaissais pas encore le Penoxal. Évidemment, j’ai consulté le plus tôt possible un médecin gastro-entérologue, qui a pratiqué une gastroscopie. Il n’a pas trouvé de tumeur, à mon grand soulagement. J’ai à ce moment pris 4 gélules de Penoxal 50 mg par jour le matin et le soir avant les repas.
Au début de l’année, j’ai eu un ulcère à la cornée de l’œil droit et j’ai été soigné avec des gouttes antibiotiques et antivirales pendant environ un mois. Juste après, j’ai eu de nombreux rhumes qui ont entraîné une angine. À ma grande surprise, les médecins ont évoqué dans les deux cas un éventuel affaiblissement de l’immunité. Après avoir pris du Penoxal, je me sens libéré et sans problème, mon œsophage ne s’est pas rebouché et mes déprimes ont diminué. Je vous envoie une photo de moi de cette année.
Bien à vous George
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Penoxal est un complément alimentaire d’origine naturelle contenant une substance brevetée unique appelée Biocol. Ses bienfaits sur le système immunitaire sont renforcés par la vitamine C. Penoxal soutient principalement le fonctionnement des lymphocytes B et T – les globules blancs responsables de la réponse immunitaire, il régule la mort des cellules endommagées ou malades, aide au bon fonctionnement de l’appareil digestif, soulage les symptômes de nombreuses maladies, harmonise l’ensemble du corps et contribue ainsi au bien-être général. Il n’interfère avec aucun autre médicament et, lorsqu’il est utilisé à long terme, il ne présente aucun effet toxique ou néfaste.